Halloween (Quatrième Partie Et Fin)
Je devais avoir bu léquivalent de trois shooters de sperme gardé au chaud dans le vagin de ma douce quand Alessandro présenta sa queue toute dure sur ma pastille anale. Il faisait couler du sperme provenant de la récolte préalable afin de faciliter la pénétration. Cest donc sans mal ou presque quil finit par percer mon orifice pour enchainer les coups de bite entre mes fesses. Cétait vraiment délicieux, bien meilleur que les séances de pegging auxquelles Marianna mavait habitué. Je ne pus réprimer mon plaisir et ma douce se libéra de lemprise de Marc afin de profiter du spectacle.
Cétait le comble. Cest moi qui rêvais de la voir se faire baiser et cest elle qui me voyait pris en levrette. Elle agrippa mes cheveux pour me forcer à garder sa chatte ruisselante en bouche. Alessandro ny allait pas de main morte. Heureusement, sa queue était parfaitement adaptée à mon orifice. Il ne me fit pas mal, bien au contraire, et je ne pus contenir la jouissance que jendiguais depuis de nombreuses heures. En éjaculant, je poussai un râle intense et sentis une douleur vive au niveau du sphincter. Alessandro se retira doucement et alla dun trait présenter sa verge à ma douce qui la prit en bouche après avoir retiré la capote avec précaution.
« Le cocu a joui, sexclama Marc! »
« Oh, mon chéri, cétait si beau de te voir, dit-elle en léchant le chibre dAlessandro. Tu semblais prendre tant de plaisir. »
« Tas encore du ménage à faire, me lança Marc. Tu vas commencer par ta propre semence et ensuite, tu continueras de nettoyer ta belle salope. »
Encore une fois, je mexécutai et suçais mon sperme sur les draps maculés. Allions-nous dormir dans une telle souillure ? Une fois fait, je mapprochai du corps de ma copine et maffairai à parfaire ma tâche. Cest alors que je remarquai la taille du pénis dAlessandro. Il était beaucoup moins gros que celui de Marc. Je me fis cette réflexion quand je sentis ce dernier diriger sa queue sur mon trou élargi non sans lavoir lubrifié, une fois encore, à laide du sperme resté dans le verre de scotch.
La queue de Marc était beaucoup plus épaisse que celle dAlessandro. Il devait se sentir très à létroit dans mon cul. Il se défoula un bon moment avant que le plaisir ne sinstalle et je sentais mon tréfonds se détendre suffisamment pour encaisser sans mal cette saillie animale. Après dix bonnes minutes denculage en règle, il finit par extraire son énorme tuyau de chair, enleva sa capote et alla cracher son foutre dans la bouche de ma douce.
« Navale pas, lui indiqua Marc. Recrache tout dans la bouche de ton mec. Il la bien mérité. »
Marianna sexécuta et je pris à nouveau une bonne dose de sperme en bouche. Celui-ci était tout frais et beaucoup moins gouteux que les autres. Jen gardai un peu en bouche pour en recracher sur le vagin de Marianna que je mempressai daller dévorer à nouveau.
« Eh bien, ma belle, tu tes trouvé une bonne fiotte de cocu ! », annonça Marc à Marianna.
Cette dernière vanne à mon endroit eut leffet dun coup de poing en plein visage. Jétais devenu une fiotte ? Quallait penser Marianna ? Comment me verrait-elle désormais ? Ma douce repoussa létreinte de Marc et vint à moi, appuya son front sur le mien et déclara tout haut que jétais lhomme dont elle avait toujours rêvé.
Marc et Alessandro se regardèrent, haussèrent les épaules et déclarèrent de concert : « Bien, il est temps de baiser madame. Ta double, tu la veux dans la chatte ou dans le cul ? »
Je pus enfin mextirper de cette orgie dans laquelle je tenais un rôle ma foi bien ingrat. Mais de vous à moi, cela mallait tout à fait. Je me sentais bien, serein. Les paroles de mon amour mavaient rassuré et jallais enfin pouvoir assister au spectacle qui meublait mon imagination lors de mes séances de masturbation ; celui mettant en vedette ma compagne se livrer à dautres mecs.
Il était évident que ces deux-là avaient une solide expérience de ce type de situation. Marc se glissa sous Marianna et Alessandro se positionna à lentrée de son fessier. Une double classique pour commencer parvint à faire chanter ma belle. Leur rythme soutenu eut raison delle en quelques minutes à peine et Marianna se dégagea afin de reprendre ses esprits.
« Oh, mes chéris ! Cétait tellement bon, merci, leur glissa-t-elle, haletante. Je ne sais pas comment je vais pouvoir me passer de ce type de sensations. »
Cette fois-ci, cest à moi quelle sadressait.
Couché sur le dos, Marc attrapa Marianna, la positionna face à Alessandro et glissa sans mal son énorme queue dans le fond de lanus de ma petite copine. Alessandro vint se placer face au couple, prit place entre les jambes de son comparse et poussa comme il put sa bite dans lorifice occupé.
« Ah oui », cria ma belle ! « Défoncez-moi les fesses, salauds ! Plus fort. Ouvrez-moi ! Dilatez-moi le cul ! »
Évidemment, ces partouzeurs professionnels ne pouvaient que donner le meilleur deux-mêmes. Fierté oblige. Ils pilonnèrent donc le petit trou distendu de Marianna avec force et rage tels deux bestiaux endiablés. La belle cria de plus en plus fort si bien que je crus quelle ne pouvait plus encaisser ce traitement habituellement réservé aux athlètes anales et autres actrices pornos dexpérience. Je craignais également que nos colocataires narrivent et que nous ne puissions les entendre. Après un bon quart dheure de ramonage en règle dans son fondement, Alessandro se retira et Marc souleva les hanches de Marianna pour déculer.
Son trou était béant, bien plus large que son vagin pourtant bien ouvert.
« Hey, cocu, me lança Marc. Viens glisser ta bite dans le fion de ta copine et dis-nous si tu sens encore quelque chose. »
Je mexécutai avec grande hâte et pénétrai son trou distendu jusquaux couilles. Cet enfoiré avait raison, je ne sentais plus rien, mais je profitais de chaque seconde en elle. Cétait chaud et en frottant mon gland sur les parois de son ampoule rectale écartée, je pouvais sentir un frottement agréable.
« Et toi, Marianna, sens-tu encore le sexe de ton homme ? »
« Non, je ne sens rien. Mon cul est complètement ruiné. Vous allez devoir venir me baiser régulièrement sinon je ne pourrai plus jouir. Ce serait trop dommage, hein, mon chéri » ?
Alessandro me poussa pour que je leur rende ma copine, enfila une nouvelle capote et attendit que Marc pénètre le con de ma cocufieuse. Jai su par après que pour ce type de double pénétration, la place du dessous revenait à lhomme étant doté du plus long pénis. Une fois son chibre recouvert lui aussi dune nouvelle capote, Marc fit sempaler ma douce sur lui, les fesses vers Alessandro. Il prit soin décarter à nouveau les fesses de la belle pour nous donner une idée de létat dans lequel je retrouverai le vagin de ma salope. Alessandro prit alors position et glissa à nouveau sa queue dans un trou déjà sollicité. Il poussa, mais cest sans mal que ma douce encaissa cette double pénétration vaginale et ses gémissements reprirent de plus belle.
Je me branlais en admirant ma belle se livrer à eux. Elle semblait en transe et lon eut pu croire quelle avait été sculptée par les dieux de la lubricité afin de passer son existence à jouir. Après un bon quart dheure de pilonnage en règle et trois orgasmes parfaitement assumés de la belle, les deux mâles jetèrent léponge. Ils retirèrent leurs capotes et vinrent positionner leurs queues tendues à lentrée de la grotte béante de mon amoureuse.
« Écarte-moi ces lèvres et ouvre grand ta chatte, on va te remplir de notre foutre », lui dit Marc.
Couchée sur le dos, les jambes en lair, la belle sexécuta et écarta du mieux quelle put son vagin évasé. Les deux se branlaient fort et se mirent à éjaculer abondamment en prenant soin de viser le cur de la cavité. Il ny eut que très peu de perte et des bulles de sperme se formaient à lentrée de son vagin avant que le liquide blanc ne replonge au fond delle.
« Voilà, mec. On te la laisse », fit Alessandro, accompagné dun clin dil.
« Merci », répondis-je heureux, comme si toute cette situation était des plus normale.
Je me retrouvais enfin seul avec Marianna. Elle était étendue sur le lit et avait lair épuisée. Ses genoux écartés dévoilaient limpudique scène du crime adultère quelle venait de commettre à répétition. Javais eu ma dose de sperme en bouche et je tenais maintenant à me vautrer sur elle comme un chacal le ferait sur sa proie, ce que je fis sans tarder.
Le dos de sa main reposait tendrement sur son front et sa tête, penchée sur le côté, semblait mindiquer quelle avait eu sa dose et quelle apprécierait ma clémence. Elle pouvait se brosser. Je vins mallonger sur son corps enduit de semence de mâles. Chaque contact avec sa peau souillait à son tour mon propre corps. Je pénétrai doucement son entrejambe délicieusement accueillant et me mis à enchaîner les va-et-vient sans rencontrer de résistance. Elle restait muette cette fois. Était-ce la fatigue ou le fait quelle ne me sentait plus ? Lonctuosité de son antre infidèle mexcitait au plus haut point et je me lâchai amoureusement aux confins de sa vulve gluante et distendue. Jespérais quelle ne sen rendrait pas compte, car je désirais maintenant honorer son fondement anal.
Sans sourciller, elle se tourna delle-même sur le côté et écarta les fesses pour minviter à my défouler. Je ne me fis pas prier et entama une douce série de coups de reins. Après quelques minutes, je compris que je pouvais y aller franchement et je me mis à la pilonner aussi vite et aussi fort que je pus.
« Tas été une vraie pute ce soir, hein, ma chérie ? »
« Oui, jen aurais pris encore. Je les aurais laissés me baiser jusquau matin, même inconsciente. Jai aimé quils me prennent les uns après les autres, quils me traitent comme un vulgaire sac à foutre
Cétait tellement bon
», répondit-elle, haletante.
« Et toi, tu as aimé, mon chéri ? », demanda-t-elle pendant que je continuais de lui ramoner le derrière.
« Jai adoré te voir à luvre, ma salope, mais ce que je préfère jusquà maintenant, cest de te prendre ouverte et remplie de foutre », concédés-je.
« Ça tombe bien, répondit-elle, car tu passeras toujours en dernier. Seuls ta langue et ton cul seront autorisés à participer
»
Et comme si cette idée lallumait singulièrement, elle commença à onduler du bassin violemment pour me sentir au plus profond delle et se mit à jouir dune force inouïe. Elle continua de senfesser avec rage jusquà la fin de son orgasme qui dura plus de dix secondes. Je nétais pas parvenu à jouir de ce coït et continuai donc le forage de son orifice désormais trop large pour mon sexe. Je plongeai donc quatre doigts dans son con dégoulinant de sperme pour les lubrifier et je les fis glisser dans son cul à côté de mon membre toujours calé en elle. Elle encaissa sans mot dire et je pris alors linitiative dinsérer toute ma main jusquau poignet. Je me masturbais littéralement dans son cul et ma belle salope commença à geindre et mencouragea à continuer.
« Vas-y ! Finis-toi, mon salaud. Jouis dans mon cul ! Tu nes pas le premier ce soir
Tu le sens à quel point je me suis fait enculer ? Même les putes sont moins ouvertes ! »
À ces mots, je subis à mon tour leffet dun orgasme dévastateur et mécroulai à ses côtés, la bite et la main toujours fichées dans son fessier. Nous nous endormîmes ainsi et je neus pas conscience du moment où je libérai enfin son trou de mon emprise. À mon réveil, elle dormait toujours profondément. Je la caressais doucement et mapprochai de son corps chaud pour une étreinte amoureuse. Jentendis les autres saffairer et en regardant lheure, je réalisai quil ne nous restait que quinze minutes pour libérer lappartement. La femme de ménage va samuser, me dis-je.
« Chérie, il faut y aller, chuchotai-je tendrement. Habille-toi, mon amour, je ramasse tes affaires. Tu nas pas le temps de prendre une douche. Jirai nous chercher des cafés sur la route. »
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